Ville d'Art et d'Histoire
Comment gérer l'après ?
Dans les semaines qui suivent la disparition du défunt, il est nécessaire de régulariser la situation auprès de différents organismes tels que les organismes de protection sociale (sécurité sociale, caisses de retraite, etc.).
Plusieurs questions peuvent également survenir (bénéfice de la pension de réversion, perception de rentes et capitaux du défunt en cas de décès, etc.) ainsi que les délais pour assurer ces démarches.
La vente à la sauvette d'animaux est-elle autorisée ?
Non. De manière générale, la vente à la sauvette, c'est-à-dire le fait d'exposer dans les lieux publics, des biens en vue de les vendre sans autorisation régulière, est interdite.
Il est interdit de vendre des produits, quels qu'ils soient, sans autorisation, sur le trottoir, les chaussées, les marchés, etc. Ainsi, la vente d'animaux à la sauvette (chiots, chatons, lapins, etc.) est interdite.
La vente à la sauvette peut être punie de 6 mois d'emprisonnement et de 3 750 € d'amende.
Toutefois, l'auteur de la vente à la sauvette peut échapper à ces poursuites s'il remplit les conditions suivantes :
Il est majeur non récidiviste
Et il paye une amende
Le montant de l'amende est de 300 € si elle est payée dans les 45 jours suivant la constatation de l'infraction ou la date d'envoi de l'avis d'infraction.
Ce montant est porté à 600 € si l'amende n'est pas payée dans ce délai de 45 jours.
Ce montant est réduit à 250 € si l'auteur de la vente à la sauvette paie directement l'amende à l'agent de police au moment de la constatation de l'infraction ou dans les 15 jours suivant la constatation de l'infraction ou la date d'envoi de l'avis d'infraction.
En outre, l'animal peut être confisqué et confié à une association de protection animale.