Le décès d'un proche

Lors du décès d’un proche on se trouve brutalement confronté aux questions "Quoi faire ?", "Où aller ?", "Vers qui se tourner ?"

En règle générale, ce sont les pompes funèbres qui effectuent les démarches auprès des services habilités, notamment pour la demande de fermeture de cercueil, la crémation, le transport pour obsèques, l’autorisation d’inhumer dans le cimetière choisi.

Mais la validation de ces actes s’effectue en mairie.  Si c’est à vous que revient cette tâche, il faut :

Déclarer le décès

Se présenter en mairie du lieu de décès avec le certificat de décès délivré par le médecin dans les 24h de la constatation de celui-ci, une pièce prouvant l’identité du défunt ainsi que le livret de famille (sauf cas particuliers).

Obtenir l’acte de décès

A la suite de cette déclaration, il vous sera remis un acte de décès, document indispensable pour la suite des demandes et l’autorisation de procéder aux obsèques.

Organiser les funérailles : inhumation

L’inhumation consiste à placer le corps du défunt dans une tombe. L’enterrement a lieu le plus souvent dans un cimetière, 6 jours au plus après le décès, sauf exceptions. L’entreprise des pompes funèbres choisie s’occupe des démarches liées à l’inhumation, en totalité ou en partie.

Ce peut être :

  • dans le cimetière de la commune si le défunt habitait Uzès,
  • dans le cimetière de la commune où il est décédé,
  • dans celui de la commune où est situé le caveau de famille.
  • L'inhumation est aussi possible ailleurs, mais le maire de la commune concernée peut la refuser.
  • Si le défunt résidait à l'étranger, il peut être inhumé dans le cimetière de la commune dans laquelle il est inscrit sur la liste électorale, même s'il n'y possède pas de sépulture de famille…

Acheter une concession funéraire

Une concession funéraire est un emplacement dans un cimetière dont vous achetez l’usage (mais non le terrain). L’acte de concession précise qui en sont les bénéficiaires, ainsi que la durée.

Le service Etat Civil d’Uzès s’occupe des cimetières communaux :

  • lors de l’inhumation, il propose différents types de concessions, renouvelables :
    - concession trentenaire : 30 ans
    - concession cinquantenaire : 50 ans
  • lors d’une crémation, concession au colombarium :
    - concession trentenaire : 30 ans.

Plusieurs options sont proposées. La commune dispose également d’un espace aménagé, appelé Jardin du souvenir.

Dans les deux situations, la concession peut être individuelle, collective ou familiale lors de l’acquisition.

Afin de préparer cette démarche ou se renseigner

  • Prenez rendez-vous auprès du service en mairie d’Uzès.
  • Munissez vous d’une pièce d’identité et d’un justificatif de domicile de moins de 6 mois.

Horaire d’accueil du service Etat Civil - cimetières pour achat de concession

  • Tous les mardis et jeudis, sur rendez-vous uniquement
    de 8h30 à 12h et de 13h30 à 16h30

Congé de maladie du contractuel de la fonction publique

Vous êtes contractuel, malade ou victime d'un accident non professionnel et dans l'incapacité de travailler ? Vous pouvez être placé en congé de maladie par votre administration employeur sur présentation d'un arrêt de travail. Nous vous présentons les règles applicables au congé de maladie, selon votre fonction publique d'appartenance (État - FPE, territoriale - FPT, hospitalière - FPH).

    FPE

    Dans quel cas un contractuel est-t-il placé en congé de maladie ?

    Lorsque vous êtes en activité, vous pouvez être placé en congé de maladie, sur présentation d'un certificat médical, lorsque la maladie ou un accident survenu hors temps de travail vous met dans l'impossibilité d'exercer vos fonctions.

    Vous pouvez être placé en congé de maladie que vous soyez en CDD ou en CDI.

    Vous ne pouvez pas être placé en congé de maladie lorsque vous n’êtes pas en activité, c’est-à-dire lorsque vous bénéficiez de l'un des congés non rémunérés suivants :

    • Congé parental (particuliers)

    • Congé non rémunéré pour se rendre en outre-mer ou à l'étranger en vue de l'adoption d'un ou plusieurs enfants

    • Congé de solidarité familiale (particuliers)

    • Congé non rémunéré pour élever un enfant de moins de 12 ans

    • Congé non rémunéré pour donner des soins à un enfant à charge, à votre époux ou votre partenaire de Pacs ou à un ascendant à la suite d'un accident ou d'une maladie grave ou atteint d'un handicap nécessitant la présence d'une tierce personne

    • Congé non rémunéré pour suivre époux ou partenaire de Pacs obligé de déménager pour des raisons professionnelles

    • Congé de présence parentale (particuliers)

    • Congé de proche aidant (particuliers)

    • Congé pour raisons de famille

    • Congé pour convenances personnelles

    • Congé pour créer ou reprendre une entreprise.

    Quelle démarche doit effectuer un contractuel pour être placé en congé de maladie ?

    Pour être placé en congé de maladie, vous devez adresser à votre administration employeur et à votre CPAM un avis d'arrêt de travail dans les 48 heures suivant son établissement par un médecin, un chirurgien-dentiste ou une sage-femme.

    Cet avis d'arrêt de travail indique la durée probable de votre incapacité de travail.

    Vous devez adresser les volets n°1 et 2 de l'avis d'arrêt de travail à votre CPAM et le volet n°3 à votre administration.

    À noter

    En général, votre médecin vous remet seulement le volet n°3 destiné à votre administration employeur et transmet lui-même les volets n°1 et 2 à votre CPAM.

    En cas de renouvellement de votre arrêt de travail, vous devez transmettre à votre administration et à votre CPAM votre prolongation dans le même délai de 48 heures suivant l'établissement de l'arrêt de travail.

    Si vous devez envoyer vous-même les volets n°1 et 2 à votre CPAM et si vous ne respectez pas le délai de 48 heures, votre CPAM vous adresse un courrier vous rappelant ce délai à respecter.

    Elle vous informe également que vous vous exposez à une réduction de 50 % du montant de vos indemnités journalières en cas de nouvel envoi tardif dans les 24 mois suivant ce 1er envoi tardif.

    En cas de nouvel envoi tardif d'un arrêt de travail, les indemnités journalières dues entre la date d'établissement du nouvel arrêt de travail et la date de sa transmission sont réduites de moitié.

    Le délai d'envoi de 48 heures peut être dépassé en cas d'hospitalisation ou d'impossibilité de respecter ce délai de 48 heures. Vous devez dans ce cas joindre à votre arrêt de travail un courrier expliquant votre situation accompagné des justificatifs en votre possession.

    Si, à la fin de votre arrêt de travail, vous n'avez toujours pas envoyé votre avis d'arrêt de travail, vous n'êtes pas indemnisé par la Sécurité sociale. Aucune indemnité journalière ne vous est versée.

    Quelle est la durée du congé de maladie du contractuel ?

    Vous pouvez bénéficier de congés de maladie pendant une période de 12 mois consécutifs en cas d'arrêts de travail en continu ou, au cours d'une période de 300 jours de services effectifs en cas d'arrêts de travail discontinus.

    La période de 300 jours de services est mobile et se calcule de date à date. Tous les jours calendaires sont pris en compte.

    Comment le contractuel en congé de maladie est-il rémunéré ?

    Votre congé de maladie est rémunéré par votre administration employeur si vous avez au moins 4 mois d’ancienneté.

    Vous percevez votre traitement indiciaire (particuliers) en totalité au cours des 3 premiers mois, puis la moitié au cours des 9 mois suivants.

    Si vous percevez l'indemnité de résidence (particuliers), elle vous est versée dans les mêmes proportions que votre traitement indiciaire (intégralement au cours des 3 premiers mois, puis à moitié au cours des 9 mois suivants).

    Si vous percevez le supplément familial de traitement (SFT) (particuliers), il vous est versé en intégralité pendant toute la durée de votre congé de maladie.

    Vos primes et indemnités vous sont versées dans les mêmes proportions que votre traitement indiciaire (intégralement au cours des 3 premiers mois, puis à moitié au cours des 9 mois suivants).

    Chaque arrêt de travail fait l'objet d'un jour de carence (particuliers) au cours duquel aucune rémunération vous est versée.

    Pendant votre congé de maladie, vous avez droit à des indemnités journalières pour maladie (IJ) de la Sécurité sociale (particuliers) après un délai de carence de 3 jours lors de chaque arrêt de travail.

    Le montant de ces indemnités journalières est déduit du montant de votre plein ou de votre demi-traitement.

    En pratique, votre administration employeur vous verse la totalité de votre plein ou de votre demi-traitement et se fait rembourser par la Sécurité sociale le montant des indemnités journalières, lorsque le montant de votre plein ou de votre demi-traitement est au moins égal au montant des indemnités journalières.

    Si vous devez cesser vos fonctions pour raison de santé sans avoir au moins 4  mois d'ancienneté, vous êtes placé en congé de maladie non rémunéré pour une durée maximale d'un an.

    Vous ne percevez alors que les indemnités journalières pour maladie de la Sécurité sociale, si vous remplissez les conditions pour en bénéficier. Les indemnités journalières sont versées après un délai de carence de 3 jours lors de chaque arrêt de travail.

    La durée de service requise de 4 mois pour avoir droit au congé de maladie rémunéré est calculée en tenant compte de l'ensemble des services que vous avez accomplis dans la fonction publique (d'Etat, territoriale ou hospitalière).

    En cas d'interruption de fonctions, les services sont pris en compte si l'interruption n'a pas dépassé 4 mois.

    Quelles sont les obligations du contractuel pendant un congé de maladie ?

    Pendant votre arrêt de travail, vous devez respecter les obligations suivantes :

    • Suivre les prescriptions du médecin

    • Vous soumettre aux visites médicales de contrôle demandées par votre administration ou la Sécurité sociale

    • Respecter les heures de sorties autorisées par votre médecin

    • Ne pas exercer d'activité non autorisée

    • Informer sans délai la CPAM de toute reprise d'activité avant la fin de l'arrêt de travail.

    Quels sont les effets du congé de maladie sur la situation administrative du contractuel ?

    Le congé de maladie est pris en compte dans le calcul de la durée de services exigée pour pouvoir demander un temps partiel (particuliers) et bénéficier notamment des congés suivants :

    Les autres congés ne font pas perdre l'ancienneté acquise avant leur attribution.

    Les congés annuels non pris au 31 décembre en raison d'une absence prolongée pour raison de santé peuvent être reportés sous certaines conditions (particuliers) au-delà du 31 décembre.

    Si vous ne pouvez pas prendre vos congés annuels avant la fin de votre CDD en raison d'un congé de maladie, vous pouvez bénéficier d'une indemnité compensatrice de congés annuels.

    Le montant de l'indemnité compensatrice de congés annuels est égale à 1/10e de la rémunération totale brute que vous avez perçu au cours de votre période d'emploi, entre le 1er janvier et le 31 décembre de l'année en cours.

    L'indemnité est proportionnelle au nombre de jours de congés annuels dus non pris.

    Son montant brut est soumis aux mêmes cotisations que les autres éléments de votre rémunération.

    Le montant de l'indemnité ne peut pas être inférieur au montant de la rémunération que vous auriez perçu pendant la période de congés annuels dus et non pris.

    Les périodes de congé de maladie réduisent le nombre de jours de RTT (particuliers).

    La durée des congés de maladie est prise en compte pour calculer l'ancienneté exigée pour le réexamen de votre rémunération et pour déterminer vos droits à formation.

    Elle est aussi prise en compte pour calculer l'ancienneté exigée pour se présenter aux concours internes (particuliers) et lors de votre classement en cas de réussite à un concours d'accès à un corps ou un cadre d'emplois de la fonction publique (particuliers).

    Que se passe-t-il pour le contractuel en fin de congé de maladie ?

    À la fin de votre congé de maladie, votre situation diffère selon que vous êtes apte ou non à reprendre vos fonctions antérieures.

    Vous êtes apte à reprendre vos fonctions

    Si vous êtes apte à reprendre vos fonctions à la fin de votre congé de maladie, vous êtes réemployé sur votre emploi précédent dans la mesure permise par le service.

    Si cela n’est pas possible, vous disposez d'une priorité pour être réemployé sur un emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente.

      Vous demeurez temporairement inapte à reprendre vos fonctions

      Si vous êtes toujours temporairement inapte à reprendre vos fonctions à la fin de votre congé de maladie, vous êtes placé en congé non rémunéré pour une durée maximale d’un an.

      Cette durée d’un an peut être prolongée de 6 mois s'il résulte d'un avis médical qu’il est possible que vous soyez apte à reprendre vos fonctions à la fin de cette période complémentaire de 6 mois.

      À la fin du congé non rémunéré, si vous êtes apte à reprendre vos fonctions, vous êtes réemployé sur votre emploi précédent dans la mesure permise par le service.

      Si cela n’est pas possible, vous disposez d'une priorité pour être réemployé sur un emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente.

      Si la durée de votre congé non rémunéré est égale ou supérieure à 1 an, vous devez demander votre réemploi par lettre recommandée avec accusé de réception au moins 1 mois avant la fin de votre congé. En l'absence de demande formulée en temps utile, vous êtes considéré comme démissionnaire.

      À la fin du congé non rémunéré, s’il est médicalement constaté par un médecin agréé que vous êtes définitivement inapte à occuper votre emploi, vous pouvez demander à être reclassé (particuliers).

      Votre demande de reclassement est examinée si vous avez été recruté sur un emploi permanent en CDI ou, en CDD si la fin de votre CDD est postérieure à la date de votre demande de reclassement.

      L'emploi de reclassement est alors proposé pour la période restant à courir avant la fin de votre CDD.

      Si votre reclassement n’est pas possible, vous êtes licencié pour inaptitude physique.

        Vous êtes définitivement inapte à reprendre vos fonctions

        À la fin de votre congé de maladie, s’il est médicalement constaté par un médecin agréé que vous êtes définitivement inapte à occuper votre emploi, vous pouvez demander à être reclassé (particuliers).

        Votre demande de reclassement est examinée si vous avez été recruté sur un emploi permanent en CDI ou, en CDD si la fin de votre CDD est postérieure à la date de votre demande de reclassement.

        L'emploi de reclassement est alors proposé pour la période restant à courir avant la fin de votre CDD.

        Si votre reclassement n’est pas possible, vous êtes licencié pour inaptitude physique.

          FPT

          Dans quel cas un contractuel est-t-il placé en congé de maladie ?

          Lorsque vous êtes en activité, vous pouvez être placé en congé de maladie, sur présentation d'un certificat médical, lorsque la maladie ou un accident survenu hors temps de travail vous met dans l'impossibilité d'exercer vos fonctions.

          Vous pouvez être placé en congé de maladie que vous soyez en CDD ou en CDI.

          Vous ne pouvez pas être placé en congé de maladie lorsque vous n’êtes pas en activité, c’est-à-dire lorsque vous bénéficiez de l'un des congés non rémunérés suivants :

          • Congé parental (particuliers)

          • Congé non rémunéré pour se rendre en outre-mer ou à l'étranger en vue de l'adoption d'un ou plusieurs enfants

          • Congé de solidarité familiale (particuliers)

          • Congé non rémunéré pour élever un enfant de moins de 12 ans

          • Congé non rémunéré pour donner des soins à un enfant à charge, à votre époux ou votre partenaire de Pacs ou à un ascendant à la suite d'un accident ou d'une maladie grave ou atteint d'un handicap nécessitant la présence d'une tierce personne

          • Congé non rémunéré pour suivre époux ou partenaire de Pacs obligé de déménager pour des raisons professionnelles

          • Congé de présence parentale (particuliers)

          • Congé de proche aidant (particuliers)

          • Congé pour raisons de famille

          • Congé pour convenances personnelles

          • Congé pour créer ou reprendre une entreprise.

          Quelle démarche doit effectuer un contractuel pour être placé en congé de maladie ?

          Pour être placé en congé de maladie, vous devez adresser à votre administration employeur et à votre CPAM un avis d'arrêt de travail dans les 48 heures suivant son établissement par un médecin, un chirurgien-dentiste ou une sage-femme.

          Cet avis d'arrêt de travail indique la durée probable de votre incapacité de travail.

          Vous devez adresser les volets n°1 et 2 de l'avis d'arrêt de travail à votre CPAM et le volet n°3 à votre administration.

          À noter

          En général, votre médecin vous remet seulement le volet n°3 destiné à votre administration employeur et transmet lui-même les volets n°1 et 2 à votre CPAM.

          En cas de renouvellement de votre arrêt de travail, vous devez transmettre à votre administration et à votre CPAM votre prolongation dans le même délai de 48 heures suivant l'établissement de l'arrêt de travail.

          Si vous devez envoyer vous-même les volets n°1 et 2 à votre CPAM et si vous ne respectez pas le délai de 48 heures, votre CPAM vous adresse un courrier vous rappelant ce délai à respecter.

          Elle vous informe également que vous vous exposez à une réduction de 50 % du montant de vos indemnités journalières en cas de nouvel envoi tardif dans les 24 mois suivant ce 1er envoi tardif.

          En cas de nouvel envoi tardif d'un arrêt de travail, les indemnités journalières dues entre la date d'établissement du nouvel arrêt de travail et la date de sa transmission sont réduites de moitié.

          Le délai d'envoi de 48 heures peut être dépassé en cas d'hospitalisation ou d'impossibilité de respecter ce délai de 48 heures. Vous devez dans ce cas joindre à votre arrêt de travail un courrier expliquant votre situation accompagné des justificatifs en votre possession.

          Si, à la fin de votre arrêt de travail, vous n'avez toujours pas envoyé votre avis d'arrêt de travail, vous n'êtes pas indemnisé par la Sécurité sociale. Aucune indemnité journalière ne vous est versée.

          Quelle est la durée du congé de maladie du contractuel ?

          Vous pouvez bénéficier de congés de maladie pendant une période de 12 mois consécutifs en cas d'arrêts de travail en continu ou, au cours d'une période de 300 jours de services effectifs en cas d'arrêts de travail discontinus.

          La période de 300 jours de services est mobile et se calcule de date à date. Tous les jours calendaires sont pris en compte.

          Comment le contractuel en congé de maladie est-il rémunéré ?

          Votre congé de maladie est rémunéré par votre administration employeur si vous avez au moins 4 mois d’ancienneté.

          Votre traitement indiciaire (particuliers) est versé en totalité puis réduit de moitié pendant une période variable selon votre ancienneté :

          Durée de rémunération du contractuel territorial à plein ou à demi-traitement

          Ancienneté

          Durée de rémunération à plein ou à demi-traitement

          Après 4 mois de services

          30 jours à plein traitement et 30 jours à ½ traitement

          Après 2 ans de services

          60 jours à plein traitement et 60 jours à ½ traitement

          Après 3 ans de services

          90 jours à plein traitement et 90 jours à ½ traitement

          Si vous percevez l'indemnité de résidence (particuliers), elle vous est versée dans les mêmes proportions que votre traitement indiciaire (intégralement ou à moitié).

          Si vous percevez le supplément familial de traitement (SFT) (particuliers), il vous est versé en intégralité pendant toute la durée de votre congé de maladie rémunéré par votre administration employeur.

          Vos primes et indemnités vous sont versées ou non selon les règles définies par la délibération instituant le régime indemnitaire dans votre collectivité.

          Chaque arrêt de travail fait l'objet d'un jour de carence (particuliers) au cours duquel aucune rémunération vous est versée.

          Pendant votre congé de maladie, vous avez droit à des indemnités journalières pour maladie (IJ) de la Sécurité sociale (particuliers) après un délai de carence de 3 jours lors de chaque arrêt de travail.

          Pendant les périodes de rémunération à plein ou à demi-traitement par votre collectivité employeur, le montant de ces indemnités journalières est déduit du montant de votre plein ou de votre demi-traitement.

          En pratique, votre collectivité employeur vous verse :

          • Soit, en complément des indemnités journalières, la part de traitement indiciaire qui vous est due à hauteur du plein ou du demi-traitement

          • Soit la totalité de votre plein ou demi-traitement et elle se fait rembourser par la Sécurité sociale le montant des indemnités journalières.

          Si vous percevez les indemnités journalières de votre CPAM, vous devez en communiquer le montant à votre collectivité pour qu'elle vous verse votre traitement indiciaire, en complément, à hauteur de votre plein ou de votre demi-traitement.

          Votre collectivité peut suspendre le versement de votre traitement jusqu'à la transmission de cette information.

          Lorsque les périodes de rémunération à plein ou à demi-traitement sont épuisées, vous ne percevez plus que les indemnités journalières pour maladie de la Sécurité sociale si vous remplissez les conditions pour en bénéficier.

          Si vous devez cesser vos fonctions pour raison de santé sans avoir au moins 4 mois d'ancienneté, vous êtes placé en congé de maladie non rémunéré pour une durée maximale d'un an.

          Vous ne percevez alors que les indemnités journalières pour maladie de la Sécurité sociale, si vous remplissez les conditions pour en bénéficier. Les indemnités journalières sont versées après un délai de carence de 3 jours lors de chaque arrêt de travail.

          La durée de service exigée pour avoir droit au congé de maladie rémunéré par votre administration employeur est calculée en tenant compte de l'ensemble des services que vous avez accomplis auprès de l'administration qui vous a recruté.

          En cas d'interruption de fonctions, les services sont pris en compte si l'interruption n'a pas dépassé 4 mois.

          Quelles sont les obligations du contractuel pendant un congé de maladie ?

          Pendant votre arrêt de travail, vous devez respecter les obligations suivantes :

          • Suivre les prescriptions du médecin

          • Vous soumettre aux visites médicales de contrôle demandées par votre administration ou la Sécurité sociale

          • Respecter les heures de sorties autorisées par votre médecin

          • Ne pas exercer d'activité non autorisée

          • Informer sans délai la CPAM de toute reprise d'activité avant la fin de l'arrêt de travail.

          Quels sont les effets du congé de maladie sur la situation administrative du contractuel ?

          Le congé de maladie est pris en compte dans le calcul de la durée de services exigée pour pouvoir demander un temps partiel (particuliers) et bénéficier notamment des congés suivants :

          Les autres congés ne font pas perdre l'ancienneté acquise avant leur attribution.

          Les congés annuels non pris au 31 décembre en raison d'une absence prolongée pour raison de santé peuvent être reportés sous certaines conditions (particuliers) au-delà du 31 décembre.

          Si vous ne pouvez pas prendre vos congés annuels avant la fin de votre CDD en raison d'un congé de maladie, vous pouvez bénéficier d'une indemnité compensatrice de congés annuels.

          Le montant de l'indemnité compensatrice de congés annuels est égale à 1/10e de la rémunération totale brute que vous avez perçu au cours de votre période d'emploi, entre le 1er janvier et le 31 décembre de l'année en cours.

          L'indemnité est proportionnelle au nombre de jours de congés annuels dus non pris.

          Son montant brut est soumis aux mêmes cotisations que les autres éléments de votre rémunération.

          Le montant de l'indemnité ne peut pas être inférieur au montant de la rémunération que vous auriez perçu pendant la période de congés annuels dus et non pris.

          Les périodes de congé de maladie réduisent le nombre de jours de RTT (particuliers).

          La durée des congés de maladie est prise en compte pour calculer l'ancienneté exigée pour le réexamen de votre rémunération et pour déterminer vos droits à formation.

          Elle est aussi prise en compte pour calculer l'ancienneté exigée pour se présenter aux concours internes (particuliers) et lors de votre classement en cas de réussite à un concours d'accès à un corps ou un cadre d'emplois de la fonction publique (particuliers).

          Que se passe-t-il pour le contractuel en fin de congé de maladie ?

          À la fin de votre congé de maladie, votre situation diffère selon que vous êtes apte ou non à reprendre vos fonctions antérieures.

          Vous êtes apte à reprendre vos fonctions

          Si vous êtes apte à reprendre vos fonctions à la fin de votre congé de maladie, vous êtes réemployé sur votre emploi précédent dans la mesure permise par le service.

          Si cela n’est pas possible, vous disposez d'une priorité pour être réemployé sur un emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente.

            Vous demeurez temporairement inapte à reprendre vos fonctions

            Si vous êtes toujours temporairement inapte à reprendre vos fonctions à la fin de votre congé de maladie, vous êtes placé en congé non rémunéré pour une durée maximale d’un an.

            Cette durée d’un an peut être prolongée de 6 mois s'il résulte d'un avis médical qu’il est possible que vous soyez apte à reprendre vos fonctions à la fin de cette période complémentaire de 6 mois.

            À la fin du congé non rémunéré, si vous êtes apte à reprendre vos fonctions, vous êtes réemployé sur votre emploi précédent dans la mesure permise par le service.

            Si cela n’est pas possible, vous disposez d'une priorité pour être réemployé sur un emploi similaire assorti d'une rémunération équivalente.

            Si la durée de votre congé non rémunéré est égale ou supérieure à 1 an, vous devez demander votre réemploi par lettre recommandée avec accusé de réception au moins 1 mois avant la fin de votre congé. En l'absence de demande formulée en temps utile, vous êtes considéré comme démissionnaire.

            À la fin du congé non rémunéré, s’il est médicalement constaté par un médecin agréé que vous êtes définitivement inapte à occuper votre emploi, vous pouvez demander à être reclassé (particuliers).

            Votre demande de reclassement est examinée si vous avez été recruté sur un emploi permanent en CDI ou, en CDD si la fin de votre CDD est postérieure à la date de votre demande de reclassement.

            L'emploi de reclassement est alors proposé pour la période restant à courir avant la fin de votre CDD.

            Si votre reclassement n’est pas possible, vous êtes licencié pour inaptitude physique.

              Vous êtes définitivement inapte à reprendre vos fonctions

              À la fin de votre congé de maladie, s’il est médicalement constaté par un médecin agréé que vous êtes définitivement inapte à occuper votre emploi, vous pouvez demander à être reclassé. (particuliers)

              Votre demande de reclassement est examinée si vous avez été recruté sur un emploi permanent en CDI ou, en CDD si la fin de votre CDD est postérieure à la date de votre demande de reclassement.

              L'emploi de reclassement est alors proposé pour la période restant à courir avant la fin de votre CDD.

              Si votre reclassement n’est pas possible, vous êtes licencié pour inaptitude physique.

                FPH

                Dans quel cas un contractuel est-t-il placé en congé de maladie ?

                Lorsque vous êtes en activité, vous pouvez être placé en congé de maladie, sur présentation d'un certificat médical, lorsque la maladie ou un accident survenu hors temps de travail vous met dans l'impossibilité d'exercer vos fonctions.

                Vous pouvez être placé en congé de maladie que vous soyez en CDD ou en CDI.

                Vous ne pouvez pas être placé en congé de maladie lorsque vous n’êtes pas en activité, c’est-à-dire lorsque vous bénéficiez de l'un des congés non rémunérés suivants :

                • Congé parental (particuliers)

                • Congé non rémunéré pour se rendre en outre-mer ou à l'étranger en vue de l'adoption d'un ou plusieurs enfants

                • Congé de solidarité familiale (particuliers)

                • Congé non rémunéré pour élever un enfant de moins de 12 ans

                • Congé non rémunéré pour donner des soins à un enfant à charge, à votre époux ou votre partenaire de Pacs ou à un ascendant à la suite d'un accident ou d'une maladie grave ou atteint d'un handicap nécessitant la présence d'une tierce personne

                • Congé non rémunéré pour suivre époux ou partenaire de Pacs obligé de déménager pour des raisons professionnelles

                • Congé de présence parentale (particuliers)

                • Congé de proche aidant (particuliers)

                • Congé pour raisons de famille

                • Congé pour convenances personnelles

                • Congé pour créer ou reprendre une entreprise.

                Quelle démarche doit effectuer un contractuel pour être placé en congé de maladie ?

                Pour être placé en congé de maladie, vous devez adresser à votre administration employeur et à votre CPAM un avis d'arrêt de travail dans les 48 heures suivant son établissement par un médecin, un chirurgien-dentiste ou une sage-femme.

                Cet avis d'arrêt de travail indique la durée probable de votre incapacité de travail.

                Vous devez adresser les volets n°1 et 2 de l'avis d'arrêt de travail à votre CPAM et le volet n°3 à votre administration.

                À noter

                En général, votre médecin vous remet seulement le volet n°3 destiné à votre administration employeur et transmet lui-même les volets n°1 et 2 à votre CPAM.

                En cas de renouvellement de votre arrêt de travail, vous devez transmettre à votre administration et à votre CPAM votre prolongation dans le même délai de 48 heures suivant l'établissement de l'arrêt de travail.

                Si vous devez envoyer vous-même les volets n°1 et 2 à votre CPAM et si vous ne respectez pas le délai de 48 heures, votre CPAM vous adresse un courrier vous rappelant ce délai à respecter.

                Elle vous informe également que vous vous exposez à une réduction de 50 % du montant de vos indemnités journalières en cas de nouvel envoi tardif dans les 24 mois suivant ce 1er envoi tardif.

                En cas de nouvel envoi tardif d'un arrêt de travail, les indemnités journalières dues entre la date d'établissement du nouvel arrêt de travail et la date de sa transmission sont réduites de moitié.

                Le délai d'envoi de 48 heures peut être dépassé en cas d'hospitalisation ou d'impossibilité de respecter ce délai de 48 heures. Vous devez dans ce cas joindre à votre arrêt de travail un courrier expliquant votre situation accompagné des justificatifs en votre possession.

                Si, à la fin de votre arrêt de travail, vous n'avez toujours pas envoyé votre avis d'arrêt de travail, vous n'êtes pas indemnisé par la Sécurité sociale. Aucune indemnité journalière ne vous est versée.

                Quelle est la durée du congé de maladie du contractuel ?

                Vous pouvez bénéficier de congés de maladie pendant une période de 12 mois consécutifs en cas d'arrêts de travail en continu ou, au cours d'une période de 300 jours de services effectifs en cas d'arrêts de travail discontinus.

                La période de 300 jours de services est mobile et se calcule de date à date. Tous les jours calendaires sont pris en compte.

                Comment le contractuel en congé de maladie est-il rémunéré ?

                Votre congé de maladie est rémunéré par votre administration employeur si vous avez au moins 4 mois d’ancienneté.

                Votre traitement indiciaire (particuliers) est versé en totalité puis réduit de moitié pendant une période variable selon votre ancienneté :

                Durée de rémunération du contractuel hospitalier à plein ou à demi-traitement

                Ancienneté

                Durée de rémunération à plein ou à demi-traitement

                Après 4 mois de services

                30 jours à plein traitement et 30 jours à ½ traitement

                Après 2 ans de services

                60 jours à plein traitement et 60 jours à ½ traitement

                Après 3 ans de services

                90 jours à plein traitement et 90 jours à ½ traitement

                Pour le calcul des mois de services, toute journée ayant donné lieu à rémunération est comptée pour une journée quelle que soit la durée de travail au cours de cette journée.

                Si vous percevez l'indemnité de résidence (particuliers), elle vous est versée dans les mêmes proportions que votre traitement indiciaire (intégralement ou à moitié).

                Si vous percevez le supplément familial de traitement (SFT) (particuliers), il vous est versé en intégralité pendant toute la durée de votre congé de maladie rémunéré par votre établissement employeur.

                Chaque arrêt de travail fait l'objet d'un jour de carence (particuliers) au cours duquel aucune rémunération vous est versée.

                Vous avez également droit à des indemnités journalières pour maladie (IJ) de la Sécurité sociale (particuliers) après un délai de carence de 3 jours lors de chaque arrêt de travail.

                Pendant les périodes de rémunération à plein ou à demi-traitement par votre établissement employeur, le montant de ces indemnités journalières est déduit du montant de votre plein ou de votre demi-traitement.

                En pratique, votre établissement employeur vous verse :

                • Soit, en complément des indemnités journalières, la part de traitement indiciaire qui vous est due à hauteur du plein ou du demi-traitement

                • Soit la totalité de votre plein ou demi-traitement et il se fait rembourser par la Sécurité sociale le montant des indemnités journalières.

                Si vous percevez les indemnités journalières de votre CPAM, vous devez en communiquer le montant à votre établissement pour qu'il vous verse votre traitement indiciaire, en complément, à hauteur de votre plein ou de votre demi-traitement.

                Votre établissement peut suspendre le versement de votre traitement jusqu'à la transmission de cette information.

                Lorsque les périodes de rémunération à plein ou à demi-traitement sont épuisées, vous ne percevez plus que les indemnités journalières pour maladie de la Sécurité sociale si vous remplissez les conditions pour en bénéficier.

                Si vous devez cesser vos fonctions pour raison de santé sans avoir au moins 4 mois d'ancienneté, vous êtes placé en congé de maladie non rémunéré pour une durée maximale d'un an.

                Vous ne percevez alors que les indemnités journalières pour maladie de la Sécurité sociale, si vous remplissez les conditions pour en bénéficier. Les indemnités journalières sont versées après un délai de carence de 3 jours lors de chaque arrêt de travail.

                La durée de service exigée pour avoir droit au congé de maladie rémunéré par votre établissement employeur est calculée à partir de la date de votre 1er recrutement dans votre établissement employeur.

                En cas d'interruption de fonctions, les services sont pris en compte si l'interruption n'a pas dépassé 4 mois si elle était involontaire ou 1 an si l'interruption était volontaire.

                Quelles sont les obligations du contractuel pendant un congé de maladie ?

                Pendant votre arrêt de travail, vous devez respecter les obligations suivantes :

                • Suivre les prescriptions du médecin

                • Vous soumettre aux visites médicales de contrôle demandées par votre administration ou la Sécurité sociale

                • Respecter les heures de sorties autorisées par votre médecin

                • Ne pas exercer d'activité non autorisée

                • Informer sans délai la CPAM de toute reprise d'activité avant la fin de l'arrêt de travail.

                Quels sont les effets du congé de maladie sur la situation administrative du contractuel ?

                Le congé de maladie est pris en compte dans le calcul de la durée de services exigée pour pouvoir demander un temps partiel (particuliers) et bénéficier notamment des congés suivants :

                Les autres congés ne font pas perdre l'ancienneté acquise avant leur attribution.

                Les congés annuels non pris au 31 décembre en raison d'une absence prolongée pour raison de santé peuvent être reportés sous certaines conditions (particuliers) au-delà du 31 décembre.

                Si vous ne pouvez pas prendre vos congés annuels avant la fin de votre CDD en raison d'un congé de maladie, vous pouvez bénéficier d'une indemnité compensatrice de congés annuels.

                Le montant de l'indemnité compensatrice de congés annuels est égale à 1/10e de la rémunération totale brute que vous avez perçu au cours de votre période d'emploi, entre le 1er janvier et le 31 décembre de l'année en cours.

                L'indemnité est proportionnelle au nombre de jours de congés annuels dus non pris.

                Son montant brut est soumis aux mêmes cotisations que les autres éléments de votre rémunération.

                Le montant de l'indemnité ne peut pas être inférieur au montant de la rémunération que vous auriez perçu pendant la période de congés annuels dus et non pris.

                Les périodes de congé de maladie réduisent le nombre de jours de RTT (particuliers).

                La durée des congés de maladie est prise en compte pour calculer l'ancienneté exigée pour le réexamen de votre rémunération et pour déterminer vos droits à formation.

                Elle est aussi prise en compte pour calculer l'ancienneté exigée pour se présenter aux concours internes (particuliers) et lors de votre classement en cas de réussite à un concours d'accès à un corps ou un cadre d'emplois de la fonction publique (particuliers).

                Que se passe-t-il pour le contractuel en fin de congé de maladie ?

                À la fin de votre congé de maladie, votre situation diffère selon que vous êtes apte ou non à reprendre vos fonctions antérieures.

                Vous êtes apte à reprendre vos fonctions

                Si vous êtes apte à reprendre vos fonctions à la fin de votre congé de maladie, vous êtes réemployé sur votre emploi précédent dans la mesure permise par le service.

                Si cela n’est pas possible, vous êtes licencié et disposez d'une priorité de réemploi dans votre établissement pour exercer des fonctions similaires assorties d'une rémunération équivalente.

                  Vous demeurez temporairement inapte à reprendre vos fonctions

                  Si vous êtes toujours temporairement inapte à reprendre vos fonctions à la fin de votre congé de maladie, vous êtes placé en congé non rémunéré pour une durée maximale d’un an.

                  Cette durée d’un an peut être prolongée de 6 mois s'il résulte d'un avis médical qu’il est possible que vous soyez apte à reprendre vos fonctions à la fin de cette période complémentaire de 6 mois.

                  À la fin du congé non rémunéré, si vous êtes apte à reprendre vos fonctions, vous êtes réemployé sur votre emploi précédent dans la mesure permise par le service.

                  Si cela n’est pas possible, vous êtes licencié et disposez d'une priorité de réemploi dans votre établissement pour exercer des fonctions similaires assorties d'une rémunération équivalente.

                  À la fin du congé non rémunéré, s’il est médicalement constaté par un médecin agréé que vous êtes définitivement inapte à occuper votre emploi, vous pouvez demander à être reclassé (particuliers).

                  Si votre reclassement n’est pas possible, vous êtes licencié pour inaptitude physique.

                    Vous êtes définitivement inapte à reprendre vos fonctions

                    À la fin de votre congé de grave maladie, s’il est médicalement constaté par un médecin agréé que vous êtes définitivement inapte à occuper votre emploi, vous pouvez demander à être reclassé (particuliers).

                    Si votre reclassement n’est pas possible, vous êtes licencié pour inaptitude physique.

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